mardi 19 novembre 2013

La souris mécanique... suite

Les souris mécaniques, aussi appelées à boule, fonctionnent en mesurant le déplacement d’une boule (1) qui est au contact du support. Quand celle-ci roule elle actionne deux rouleaux (2) perpendiculaires entre eux. Ces rouleaux font tourner un disque perforé (3) qui laisse passer ou non la lumière d’une DEL (5). La lumière qui passe est captée par deux cellules photoélectriques espacées d’une demi-perforation. (Une cellule photoélectrique est un dispositif composé d’un capteur photosensible, dont la résistance électrique varie lorsqu’il est soumis à un rayonnement lumineux (telle une photorésistance) et d’un circuit électrique. L’importance de la variation de résistance de la photorésistance étant proportionnelle à l’intensité du rayonnement lumineux, la cellule photoélectrique peut permettre de mesurer une intensité lumineuse ou d’actionner des dispositifs divers (éclairage automatique, store, volet électrique, etc.).) 
 Souris mécanique 
Chaque cellule envoie l’information sous forme de créneaux binaires (c’est-à-dire 0= pas de lumière et 1= lumière). Les deux créent un couple (0,1) par exemple. Grâce au décalage, il est impossible que le couple passe de (0,0) à (1,1) il passe forcément par (1,0) ou (0,1), ce qui nous donne le sens de déplacement du disque.

Souris mécanique... fonctionnement?


 1) Roue du premier Odomètre de position
2) Roue du second Odomètre de position
3) Recepteurs de lumière (qui forment avec les leds les fourches optiques).
4) Leds
5) Roulette de défilement vertical
6) Odomètre de la roulette (le système optique est masqué).
7) Bouton poussoir du clic droit (le gauche est masqué).
  1. Boule de souris
  2. disques perforés
  3. LED (source de lumière - cellule photoélectrique)
  4. bouton
  5. Capteur optique (récepteur lumineux)