lundi 16 décembre 2013
mercredi 27 novembre 2013
mardi 19 novembre 2013
La souris mécanique... suite
Les souris mécaniques, aussi appelées à boule, fonctionnent en
mesurant le déplacement d’une boule (1) qui est au contact du support.
Quand celle-ci roule elle actionne deux rouleaux (2) perpendiculaires
entre eux. Ces rouleaux font tourner un disque perforé (3) qui laisse
passer ou non la lumière d’une DEL (5). La lumière qui passe est captée
par deux cellules photoélectriques espacées d’une demi-perforation. (Une cellule photoélectrique est un dispositif composé d’un capteur photosensible, dont la résistance électrique varie lorsqu’il est soumis à un rayonnement lumineux (telle une photorésistance) et d’un circuit électrique.
L’importance de la variation de résistance de la photorésistance étant
proportionnelle à l’intensité du rayonnement lumineux, la cellule
photoélectrique peut permettre de mesurer une intensité lumineuse ou
d’actionner des dispositifs divers (éclairage automatique, store, volet électrique, etc.).)
Chaque cellule envoie l’information sous forme de créneaux binaires (c’est-à-dire 0= pas de lumière et 1= lumière). Les deux
créent un couple (0,1) par exemple. Grâce au décalage, il est
impossible que le couple passe de (0,0) à (1,1) il passe forcément par
(1,0) ou (0,1), ce qui nous donne le sens de déplacement du disque.
Souris mécanique... fonctionnement?
1) Roue du premier Odomètre de position
2) Roue du second Odomètre de position
3) Recepteurs de lumière (qui forment avec les leds les fourches optiques).
4) Leds
5) Roulette de défilement vertical
6) Odomètre de la roulette (le système optique est masqué).
7) Bouton poussoir du clic droit (le gauche est masqué).
- Boule de souris
- disques perforés
- LED (source de lumière - cellule photoélectrique)
- bouton
- Capteur optique (récepteur lumineux)
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